« L’enfer des trajets domicile-travail est devenu l’un des premiers facteurs de stress au travail », selon une étude du cabinet Technologia, que le journal Le Parisien s’est procuré en exclusivité. Dans son édition du 8 février, cette étude évoque les sanctions des employeurs au moindre retard, les zones d’activités faites par les édiles locaux sans se préoccuper de l’infrastructure de transports… le fatalisme qui règne…
Ce cabinet demande à ce que soit intégré ce facteur de stress dans les nombreux facteurs de stress au travail, que les entreprises ne considèrent plus les transports domicile-travail comme au-delà de la porte de l’entreprise et du domaine de la vie privée, et que les pouvoirs publics se ressaisissent d’urgence. On peut se demander quand même pourquoi les entreprises ne tapent pas du poing sur la table, alors qu’elles financent ce transport !
Selon l’étude, le coût des loyers a poussé vers les lointaines banlieues, tandis que dans le même temps les entreprises ont fait de même en se délocalisant sans se préoccuper de l’accessibilité de leurs nouveaux locaux. On est pas les seuls à n’en plus pouvoir des transports. Il faudra réfléchir sans doute à se coordonner avec tous les autres voyageurs de province ou de lointaines banlieues, dans la même situation, pour faire vraiment bouger les choses, et agir au-delà de nos patelins, auprès des élus, de la SNCF, de la RATP, mais surtout aussi auprès des groupements d’employeurs et des représentants de grosses zones d’activités comme La Défense. Le TER Centre est un cas parmi d’autres… Hélas !
Dans leur manifeste, ce cabinet demande ainsi : « Chaque société doit surtout intégrer ce sujet dans sa politique de prévention des risques, et mettre en place des actions concrètes : covoiturage, navettes, etc. Les sociétés qui travaillent en réseau, comme les banques, devraient permettre à leurs salariés basés à l’est de Paris de travailler… à l’est : on assiste encore à des chassés-croisés insensés ! Enfin, en cas de déménagement, un accord de télétravail, au moins partiel, devrait être négocié.«
Mael (Epernon)
On n'a pas besoin de psy, on a besoin de pros!
Si vous voulez communiquer et si vous avez le courage, participez à ce blog!
Pourquoi pas? Ah, parce que vous n'avez pas de réponses. Que ce n'est pas de votre faute!
Alors de quoi voulez-vous parler? De la faute des feuilles mortes? De la faute du froid? De la faute du manque d'investissement….Les marronniers habituels quoi.
Si voulez vendre un refrain, allez dans une maison de disque.
Est ce vraiment raisonnable d'aller au devant de tant de mécontents?
Sans solution à proposer cela risque d'être plus chaud que le café!
mich
ils vont prendre chère ^^
bien faite 🙂
quand tu apprendras à écrire "cher" , tu pourras rire.
Ils ne vont pas prendre cher car sur cette ligne c'est une population de moutons. Ce soir lors de l'accès au train à montparnasse il fallait présenter son titre de transport et personne n'a bronché. Si la fine équipe dirigeante de la ligne se déplace en gare c'est qu'elle sait pertinemment qu'elle ne risque rien à part deux trois gueulards qui s'énervent dans le vent.
De toute façon, c'est juste de la communication car pour la production c'est géré localement mais pour les décisions c'est centralisé, vous voulez un conseil, n'y allez pas ça sert à rien juste pouvoir manger un ou deux croissants gratos
Sachez que les p'tits bleus qui vous contrôlent sur les quais ne sont que des contractuels embauchés par Effia (filiale de la SNCF) et n'ont pas le statut cheminot (sauf quelques reconversions du Fret). Ils font tout simplement ce qu'on leur demande comme vous et moi alors que cela vous em…, je vous comprends, mais ne soyez pas si dédaigneux envers eux.
Qu'ils soient contractuels, est administratif. Ils sont aussi cheminots que d'autres. La question est de savoir si ils sont respectueux des clients, sont compétents et risquent d'être virés si ils ne font pas bien leur boulot.