Scène surréaliste ce matin à Maintenon.
Nous sommes partis de Chartres par le 7h22 qui, du fait des incidents de la matinée, roule au ralenti depuis son départ. Il finit par s’arrêter à Maintenon, alors qu’il n’est censé marquer qu’un arrêt (VC) jusqu’à PMP.
Les portes s’ouvrent et, de façon assez normale me semble-t-il, des usagers de Maintenon en profitent pour monter dans le train. Soupirs de la part de certains Chartrains, qui se voient dans l’obligation, les pauvres, de laisser lesdits Maintenonnais s’asseoir à côté d’eux. Sauf un résistant, qui, affalé de toute sa longueur sur deux sièges, rétorque à une dame souhaitant prendre la place : "Attendez, le train ne doit pas s’arrêter ici, vous n’avez pas à monter, si vous voulez vous asseoir, vous attendez le suivant…". Le ton monte entre l’abruti du jour (excusez l’expression, mais là…), la passagère désemparée et d’autres voyageurs dont votre serviteur qui, bien entendu, la soutiennent. La Maintenonnaise finit par aller chercher le contrôleur mais elle n’a pas dû le trouver ou a dû lâcher l’affaire car je ne l’ai jamais vu revenir (je suis descendu à VC). Et le "héros" du jour de s’endormir sur son double siège, sourire aux lèvres.
Incompréhensible : alors que nous subissons tous de forts retards comme ce matin, des passagers croient bon de se comporter de la sorte histoire d’en ajouter un peu…
Nous sommes partis de Chartres par le 7h22 qui, du fait des incidents de la matinée, roule au ralenti depuis son départ. Il finit par s’arrêter à Maintenon, alors qu’il n’est censé marquer qu’un arrêt (VC) jusqu’à PMP.
Les portes s’ouvrent et, de façon assez normale me semble-t-il, des usagers de Maintenon en profitent pour monter dans le train. Soupirs de la part de certains Chartrains, qui se voient dans l’obligation, les pauvres, de laisser lesdits Maintenonnais s’asseoir à côté d’eux. Sauf un résistant, qui, affalé de toute sa longueur sur deux sièges, rétorque à une dame souhaitant prendre la place : "Attendez, le train ne doit pas s’arrêter ici, vous n’avez pas à monter, si vous voulez vous asseoir, vous attendez le suivant…". Le ton monte entre l’abruti du jour (excusez l’expression, mais là…), la passagère désemparée et d’autres voyageurs dont votre serviteur qui, bien entendu, la soutiennent. La Maintenonnaise finit par aller chercher le contrôleur mais elle n’a pas dû le trouver ou a dû lâcher l’affaire car je ne l’ai jamais vu revenir (je suis descendu à VC). Et le "héros" du jour de s’endormir sur son double siège, sourire aux lèvres.
Incompréhensible : alors que nous subissons tous de forts retards comme ce matin, des passagers croient bon de se comporter de la sorte histoire d’en ajouter un peu…