Moins d’un mois après que des milliers de voyageurs excédés ont attendu des heures en gare Montparnasse à la suite de ruptures de catenaires, la SNFC a rendu les conclusions du rapport demandé par son président. Dès le lendemain des incidents concernant les caténaires, la direction de la compagnie nationale avait déclenché une campagne d’inspection des systèmes d’alimentation du réseau. 1 000 agents ont, déjà, patrouillé sur l’ensemble des lignes, inspectant plus de 10 000 kilomètres de ligne. Ce qui a donné lieu à un rapport d’étape présenté, le 2 octobre, à Mégève, lors du traditionnel séminaire de presse.
L’étude sera poursuivie les mois prochains mais les premières conclusions sont sans surprise : dans l’état actuel du réseau, les trois séries de ruptures de caténaires, qui ont entraîné une pagaille phénoménale en août et en septembre, étaient à craindre. La limite d’usure du fil de contact est beaucoup plus poussée en France que dans les pays voisins. Par ailleurs, les investissements affectés, aujourd’hui, aux caténaires sont consacrés majoritairement à l’entretien (155 millions d’euros sur les 191 millions de l’enveloppe caténaires).
Le directeur général délégué à l’infrastructure de la SNCF propose, ainsi, de faire passer le remplacement des caténaires défectueuses de 500 kilomètres à 700 kilomètres par an. Ce qui entraînerait un effort annuel supplémentaire de 50 millions d’euros sur les quatre années à venir, auquel il faudrait ajouter 150 millions d’euros destinés à renforcer la fiabilité des installations. La SNCF se propose, elle, d’acquérir de nouveaux matériels d’inspection et d’intervention.
La facture globale devrait avoisiner les 400 millions d’euros, dont une très grande partie devra être payée par Réseau Ferré de France (RFF) , qui , depuis 1996, a la charge de l’entretien des lignes ferroviaires. C’est bien là où le bât blesse. Réseau Ferré, plombé par une dette de 28 milliards d’euros (héritée de la SNCF), n’a pas les moyens d’empiler les nouvelles dépenses.
Ce ne sont pas des syndicats. Mais seulement des bandes de casseurs. Des meutes. C'est normal que chacun fasse sa nuisance dans son coin.
Vous avez lu le tract à l'envers, et vous n'avez, une fois de plus rien compris.
Ce que vous expliquez est ubuesque et non conforme.
Même les cheminots « ne s'y retrouvent plus et ne comprennent pas trop les raisons d'un tel mouvement après une grève le 23 mars qui a pas mal marché. Les motivations ne sont ni professionnelles ni syndicales », selon Bernard Aubin, de la CFTC !
La grève selon la CFTC (syndicat archi minoritaire) sert à faire parler Maël pour nous amuser.
Et l'UNSA et FO pourquoi ils appellent pas ? et la Fgaac-CFDT pourtant importante vous a lâché…
Quand on lit la liste des revendications de sud rail, c'est compréhensible qu'ils soient lachés par les autres syndicats et la très grande majorité des cheminots. Leurs demandes sont tellement ridicules!! Dans une autre dimension!! La majorité des cheminots ont peur du ridicule.
Ce qui explique que , parfois , la grève se poursuit le lendemain de la date annoncée , sans en avoir été prévenu . Dégueulasse .
Mäel
La CGT et SUD RAIL représentent près de 60% des cheminots. Chaque syndicat est libre de choisir sa façon d'agir.
Représentent 60% des cheminots? La grosse plaisanterie! Et quand on lit la liste de ce qu'ils demandent, c'est ridicule. Aucun sens commun. Cela n'a rien a voir avec de justes revendications. Ce sont juste des excuses pour emmerder et provoquer les travailleurs. Et casser la sncf.
Mon pauvre ami, qu'est-ce que tu connais de nos revendications, intervenant stupide !!
Et oui que cela te plaise ou non, la CGT et SUD RAIL représentent bien près 60% des cheminots qui ne sont pas la pour "emmerder" le monde comme tu le prétends, mais pour défendre leurs droits. Si tu es comme tu le dis un travailleur, et ça j'en doute, tu devrais comprendre nos positions.
Les revencications des syndicalistes , casseurs du rail, sont sur la toile. Si tu sais lire, tu les consultes. Tu verras une liste de demandes en dehors de tout sens commun. Juste des pretexte pour faire grève et emmerder un maximum d'usagers. Pour des cheminots qui ne savent pas penser par eux-mêmes.