Mais c’est en région parisienne que la situation est la plus difficile, avec une régularité de 88,8 % sur l’ensemble de l’année dernière, alors que l’objectif était de 90,1 %. Certes, la manière de calculer a été durcie depuis deux ans : la mesure de la ponctualité prend en compte le nombre de voyageurs impactés et les retards de plus de cinq minutes à chaque arrêt du train, et non plus seulement au terminus.
Les résultats 2013 des Transiliens n’en sont pas moins décevants et ont été plombés par les mois d’octobre et surtout de novembre (où la régularité moyenne a chuté sous les 84 %) exécrables. La SNCF l’explique par la présence des feuilles mortes sur les voies (explication qui fait régulièrement ricaner les usagers), ce qui donne lieu à des phénomènes de patinage et d’enrayage. Les mesures prises depuis plusieurs années permettent d’éviter que le matériel ne se dégrade, mais ne dispensent pas les trains de ralentir, explique la compagnie.
Chose très étonnante, celui de 17h24 était un ancien à étage (donc à chier) et idem, il n'y avait pas grand monde (en tête de train).